Alain DELON
La poursuite du guépard
On le nomme Le Guépard
Il se terre quelque part…
C’était lui pour Christine,
Trouvée au fond de la piscine,
Et pour le SamouraÏ
Attaché vivant sur les rails…
Pire encore le Gitan
Et les siens brûlés au printemps !
Borsalino and Co,
Les tueurs de San Francisco,
Le clan des siciliens,
Tous entre eux cette fois ont un lien :
Mise à mort d’un pourri,
Prêts à toutes les pires vacheries…
On le nomme Le Guépard
Il se terre quelque part…
Depuis cent et une nuit
Il riposte comme un boomerang !
Peu importe le gang
Sans répit le jour et la nuit,
Personne ni même un flic
N’a pu approcher ce sadique !
Même Rocco et ses frères,
Leurs histoires extraordinaires
Où par carambolages
Ils lui bloquent deux fois le passage…
Mais il encaisse le choc
Leur envoie un traitement de choc
On le nomme Le Guépard
Il se terre quelque part…
Moi comme Franck Riva
Sommes pointés dans son cercle rouge !
Bientôt le soleil rouge,
Le retour de Casanova…
C’est tous trois notre histoire,
Pour lui ou nous la tulipe noire.
On le nomme Le Guépard,
Pour la fin de l’histoire
C’est à toi de prévoir
Un ou quatre faire-parts !
Le Roi de pique, huile, 60x60
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